Nos expériences nous ont persuadés du fait que la détérioration de la transmission d’une information est inversement proportionnelle à la complexité du réseau et à la multiplication des noeuds de communication.
Ces transports reposent donc sur la présence d’un super-noeud de communication.
Après maints calculs et ajustements, la moyenne des latitudes et longitudes de nos différents laboratoires, localise la zone où la réception doit se montrer plus clémente, un périmètre défini par Le Super-Noeud :
47°0'41.145"N | 3°4'42.152"E | altitude 168m
Autrement dit, Fourchambault, Dans la Nièvre.
Le laboratoire s'installe dans ce village, à proximité de La Loire, réplique inversée de notre cabane-grotte à Bad Aibling en Bavière.
Le labo de Fourchambault, profitant cette fois de la colossale source d'énergie générée par la confluence entre Loire et Allier, non loin de là, au Bec d'Allier, nous sert d'amplificateur, de collecteur, de zone de stockage et de zone de test pour nos missions futures.
Après d'encourageants résultats (des réceptions à répétition), un curieux phénomène se manifeste.
Que ce soit par leurs dimensions, leur forme, ou leur contenu, les objets où informations bel et bien receptionnés arrivent toujours qualitativement décalés comme par un effet Doppler-Fizeau.
Tout d'abord obscurci par ce triste constat, l'horizon du laboratoire s'éclaircit en arpentant les alentours.
La découverte miraculeuse d'un message non loin de là dans un étang du parc Saint Léger de Pougues-les-Eaux lors d'une de nos campagnes de mesure des champs, mis au jour l'évidente concordance entre le décalage de la zone de réception et le passé thermale de la ville.
La base de Fourchambault sous tous les angles: