Le noeud de Cherbourg se compose d'un ensemble d'infrastructures autonomes de génération de contraintes et problèmes en tous genres.
Jadis architectures guerrières, à la fois ouvertes et défensives, les zones cherbourgeoises du laboratoire dessinent une chaîne ininterrompue d'ouvrages de protection. Cette structure a la propriété de freiner les flux de communication et d'en perturber la cohérence.
C'est une des raisons pour laquelle la transmission d'un message venant de Marseille doit nécéssairement employer des biais détournés pour tromper une efficace et continue surveillance.
Les deux axes principaux de cette ligne sont le blockhaus, situé au nez et la la barbe des habitants en plein coeur de la ville de Cherbourg, et l'île, un fort à la vue de tous, abritant centre de recherche, générateurs énergétiques et bientôt un pôle de recherche traitant de la question épineuse de la fiction concrète.
